Histoire d'cE.Z. Massicotte Edouard-Zotique Massicotte a été soutenu à Montréal décembre 24, 1867. Il est par la suite devenu un négociant et un mari d'Adele Bertrand. Il a étudié avec l'université de Sainte-Marie et a obtenu un degré et une barre de loi en 1895. Il suit son métier dans l'association avec Camille Piche. En 1911, monsieur Lomer Gouin confie à lui au poteau de la tête des fichiers des palais de justice de Montréal, Canada. Il était un membre de la compagnie historique de Montréal, de la compagnie de l'archaeology et numismatics, de la Commission des bâtiments historiques de la province du Québec, il est membre avec la vie du Company-Saint-Jean-Baptiste. En 1912, il concentre la majeure partie de son production historique dans le corps des fichiers de la province, le bulletin de la recherche historique. Il se marie dans Three-Rivers, Québec, octobre 23, 1899, à Alice Godin, fille de Philippe-J. Matte de Godin et d'Arselie.

Avant d'être nommé responsable des fichiers légaux de Montréal en 1911, qui sont aujourd'hui les enregistrements publics du Québec à Montréal, Edouard-Zotique Massicotte était membre de fondateur de l'école littéraire de Montréal et d'un journaliste. Collaborateur principal de Pierre-Geoges Roy au bulletin de la recherche historique, il exploite intelligemment les fichiers riches de personne dont il est responsable afin de faire connaître les visages cachés de notre histoire culturelle. Massicotte est intéressé par le contexte de l'utilisation des objets, c'est-à-dire avec les habitudes et les coutumes de la culture matérielle ou de l'histoire culturelle, par les moyens des fichiers ou du folklore. Il édite plusieurs articles et travaux près dont associez aux arts, ou de loin, pendant la première moitié du 20ème siècle de 1915 à 1947.

En février 1942 Massicotte édite un long article sur " la fourniture à Montréal dans XVII et XVIII des siecles " où il élabore la nomenclature terminologique plusieurs objets de grâce trouvée par culture matérielle aux inventaire après la mort. Massicotte exprime là son étonnement pour voir des personnes de la condition moyenne ayant des garde-robes longues et pour même de l'argenterie. **time-out** voie d'accès développer par Massicotte emprunter par Robert-Lionel Seguin, et marquer dehors par plus raffiné travail sur question, objet familier notre ancêtre, éditer en 1974 par Nicole Genet, Luce Vermette et Louise Decarie tel que son caractéristique croître, Massicotte éditer un grand série innovateur article sur folklore, habitude et coutume relier alimenter matériel culture, qui apporter un intéressant lumière sur sujet encore aujourd'hui. Sans compter que ses articles présentez très clair un état à sa seulement approche archivistic, complètement isolée de l'étude des objets. Souvent il trouve l'information avec un réseau entier d'autres chercheurs, c'est-à-dire au Québec ou à l'étranger.

En raison d'cE.Z. Massicotte, nous avons les détails de notre ascendance, aujourd'hui. Il meurt à Montréal novembre 8, 1947 à l'âge de 80. (Anq, Pistard, Fonds Massicotte, P308).

Voici quelques photographies prises par E.Z.